Posts Tagged ‘pratique

28
Juil
10

Les chutes.

Les chutes toute une technique…………. voici une très bonne démonstration, en vidéo.

Progression technique de chutes.
De la chute « avant » à la chute « enlevée ».
Soignez vos chutes avant de soigner votre dos!
A travailler avec des partenaires expérimentés!!

Source:

30
Juin
10

ENSEIGNANTS DE L’AIKI BUKI IN YO RYU.

ENSEIGNANTS DE L’AIKI BUKI IN YO RYU

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1. AIKIDO (ADULTES – ADOLESCENTS – ENFANTS)

Hanshi Pierre Chalmagne So Shihan Hachidan Aikido
Kyoshi Cricri Mathar Shihan Shichidan Aikido
Renshi José Gutierrez Yondan Aikido
Shihandai Gilbert George Yondan Aikido

Moniteurs

  • Shihandai Marc Totte Sandan Aikido
  • Shihandai Guy Pieterbourg Sandan Aïkido
  • Sensei Catherine Reginster Nidan Aïkido

D’autres ceintures noires peuvent être sollicitées
Tous les enseignants sont certifiés par la Dai Nippon Butoku Kai (Kyoto)

2. IAIDO (ADULTES – ADOLESCENTS)

Kyoshi Pierre Chalmagne Shihan Dai Rokudan Iaido, certifié DNBK Kyoto
José Gutierrez Nidan Iaido Assistant
Gilbert George Nidan Iaido Assistant
Didier Simon Nidan Iaido Assistant

Moniteurs

  • Marc Totté Shodan
  • Nathalie Morsa Shodan
  • Cricri Mathar Shodan

Un assistant peut être sollicité

3. JODO (ADULTES – ADOLESCENTS)

Renshi Pierre Chalmagne Rokudan Jodo
Shihandai Cricri Mathar Yondan Jodo
Shidoin José Gutiérrez Sandan Jodo

Moniteurs

  • Dochi Jean Moniot Shodan Jodo

Tous les enseignants sont certifiés par l’AIYK International

15
Juin
10

Les arts martiaux et le concept du « Kuatsujiken ».

Les arts martiaux et le concept du « kuatsujinken »

(l’art de réanimer l’homme en tranchant par le sabre la violence intérieure)

Pierre Chalmagne Hanshi

Pendant des siècles, les arts martiaux ont été des outils de survie. Les « Bujutsu » ou arts de guerre étaient basés sur le concept du « satsujinken » : le sabre qui enlève la vie.

Mais le but des grands maîtres créateurs des « Shin Budo » (ou arts martiaux modernes) a été d’épurer les « arts de guerre » de leur violence et leur agressivité originelle et de les transformer en « outils de pacification et d’éducation » de l’homme.

Mon expérience d’enseignant m’a montré très clairement que la façon de pratiquer est très souvent en relation avec la nature intérieure du pratiquant. Par exemple, un ego surdimensionné et une violence intériorisée se révèlent toujours dans la pratique d’une discipline martiale. L’état d’esprit transparaît dans la gestuelle.

Pour rester fidèle aux objectifs de leurs créateurs, les arts martiaux modernes doivent être des outils de purification spirituelle. En effet, l’analyse de l’idéogramme « Budo » indique qu’il s’agit d’un chemin (Dô ou Michi) destiné à stopper la violence (Bu).

Le concept du « kuatsujinken » est de nature à éclairer la purification de l’esprit par les arts martiaux. En effet, « kua » veut dire vie ou retour à la vie normale, « tsu » est la contraction de jutsu qui signifie art ou technique et « ken » est le sabre. « Kuatsujinken » est donc un principe qui préconise de « couper par le sabre tout ce qui est mauvais dans l’homme, pour lui permettre un retour à un esprit pacifié, basé sur le principe de l’harmonisation (aï). Ce principe « ai » permet de trancher de l’esprit ce qui empêche l’homme de percevoir sa vraie nature, c’est-à-dire ses peurs, sa violence et son ego.

Que faut-il trancher exactement ? En fait tout ce qui n’est pas « aï », c’est-à-dire ce qui nous empêche d’être en harmonie avec nous-même, avec les autres et avec l’univers. Le concept « aïki » ou harmonisation des énergies spirituelles est universel et concerne la pratique de toutes les disciplines martiales et pas seulement celle de l’aïkido.

Pour les asiatiques, l’homme est un microcosme dans le macrocosme : l’univers. Le fait d’avoir un ego trop développé coupe l’homme de l’univers dans lequel il vit et son égocentrisme agit comme un prisme, déformant la réalité et les vérités qu’il doit découvrir, s’il veut donner un sens à sa vie. Les arts martiaux devraient permettre de s’étudier soi-même et de s’oublier soi-même. Et s’oublier soi-même, c’est couper ou tout au moins modérer l’ego.

L’homo sapiens ou homme sage ? On peut en douter vu l’état de la planète et de l’humanité…

Les arts martiaux modernes, bien compris, devraient permettre à l’homme de retrouver une certaine sagesse (sapience) qui semble de plus en plus absente dans un monde de compétition, souvent dépourvu d’humanisme et d’harmonie.

Vus sous cet angle, les « Shin Budo » sont loin des sports purement compétitifs, axés sur une certaine agressivité et un égocentrisme, indispensables pour vaincre à tout prix et devenir « le meilleur », souvent pour une très courte période. Au contraire, les « Shin Budo » incitent l’individu à rechercher, à travers l’étude et la pratique, l’excellence pendant une vie entière.

Les arts martiaux et le concept du « kuatsujinken »

(l’art de réanimer l’homme en tranchant par le sabre la violence intérieure)

Pierre Chalmagne Hanshi

Pendant des siècles, les arts martiaux ont été des outils de survie. Les « Bujutsu » ou arts de guerre étaient basés sur le concept du « satsujinken » : le sabre qui enlève la vie.

Mais le but des grands maîtres créateurs des « Shin Budo » (ou arts martiaux modernes) a été d’épurer les « arts de guerre » de leur violence et leur agressivité originelle et de les transformer en « outils de pacification et d’éducation » de l’homme.

Mon expérience d’enseignant m’a montré très clairement que la façon de pratiquer est très souvent en relation avec la nature intérieure du pratiquant. Par exemple, un ego surdimensionné et une violence intériorisée se révèlent toujours dans la pratique d’une discipline martiale. L’état d’esprit transparaît dans la gestuelle.

Pour rester fidèle aux objectifs de leurs créateurs, les arts martiaux modernes doivent être des outils de purification spirituelle. En effet, l’analyse de l’idéogramme « Budo » indique qu’il s’agit d’un chemin (Dô ou Michi) destiné à stopper la violence (Bu).

Le concept du « kuatsujinken » est de nature à éclairer la purification de l’esprit par les arts martiaux. En effet, « kua » veut dire vie ou retour à la vie normale, « tsu » est la contraction de jutsu qui signifie art ou technique et « ken » est le sabre. « Kuatsujinken » est donc un principe qui préconise de « couper par le sabre tout ce qui est mauvais dans l’homme, pour lui permettre un retour à un esprit pacifié, basé sur le principe de l’harmonisation (aï). Ce principe « ai » permet de trancher de l’esprit ce qui empêche l’homme de percevoir sa vraie nature, c’est-à-dire ses peurs, sa violence et son ego.

Que faut-il trancher exactement ? En fait tout ce qui n’est pas « aï », c’est-à-dire ce qui nous empêche d’être en harmonie avec nous-même, avec les autres et avec l’univers. Le concept « aïki » ou harmonisation des énergies spirituelles est universel et concerne la pratique de toutes les disciplines martiales et pas seulement celle de l’aïkido.

Pour les asiatiques, l’homme est un microcosme dans le macrocosme : l’univers. Le fait d’avoir un ego trop développé coupe l’homme de l’univers dans lequel il vit et son égocentrisme agit comme un prisme, déformant la réalité et les vérités qu’il doit découvrir, s’il veut donner un sens à sa vie. Les arts martiaux devraient permettre de s’étudier soi-même et de s’oublier soi-même. Et s’oublier soi-même, c’est couper ou tout au moins modérer l’ego.

L’homo sapiens ou homme sage ? On peut en douter vu l’état de la planète et de l’humanité…

Les arts martiaux modernes, bien compris, devraient permettre à l’homme de retrouver une certaine sagesse (sapience) qui semble de plus en plus absente dans un monde de compétition, souvent dépourvu d’humanisme et d’harmonie.

Vus sous cet angle, les « Shin Budo » sont loin des sports purement compétitifs, axés sur une certaine agressivité et un égocentrisme, indispensables pour vaincre à tout prix et devenir « le meilleur », souvent pour une très courte période. Au contraire, les « Shin Budo » incitent l’individu à rechercher, à travers l’étude et la pratique, l’excellence pendant une vie entière.

Les arts martiaux et le concept du « kuatsujinken »

(l’art de réanimer l’homme en tranchant par le sabre la violence intérieure)

Pierre Chalmagne Hanshi

Pendant des siècles, les arts martiaux ont été des outils de survie. Les « Bujutsu » ou arts de guerre étaient basés sur le concept du « satsujinken » : le sabre qui enlève la vie.

Mais le but des grands maîtres créateurs des « Shin Budo » (ou arts martiaux modernes) a été d’épurer les « arts de guerre » de leur violence et leur agressivité originelle et de les transformer en « outils de pacification et d’éducation » de l’homme.

Mon expérience d’enseignant m’a montré très clairement que la façon de pratiquer est très souvent en relation avec la nature intérieure du pratiquant. Par exemple, un ego surdimensionné et une violence intériorisée se révèlent toujours dans la pratique d’une discipline martiale. L’état d’esprit transparaît dans la gestuelle.

Pour rester fidèle aux objectifs de leurs créateurs, les arts martiaux modernes doivent être des outils de purification spirituelle. En effet, l’analyse de l’idéogramme « Budo » indique qu’il s’agit d’un chemin (Dô ou Michi) destiné à stopper la violence (Bu).

Le concept du « kuatsujinken » est de nature à éclairer la purification de l’esprit par les arts martiaux. En effet, « kua » veut dire vie ou retour à la vie normale, « tsu » est la contraction de jutsu qui signifie art ou technique et « ken » est le sabre. « Kuatsujinken » est donc un principe qui préconise de « couper par le sabre tout ce qui est mauvais dans l’homme, pour lui permettre un retour à un esprit pacifié, basé sur le principe de l’harmonisation (). Ce principe « ai » permet de trancher de l’esprit ce qui empêche l’homme de percevoir sa vraie nature, c’est-à-dire ses peurs, sa violence et son ego.

Que faut-il trancher exactement ? En fait tout ce qui n’est pas «  », c’est-à-dire ce qui nous empêche d’être en harmonie avec nous-même, avec les autres et avec l’univers. Le concept « aïki » ou harmonisation des énergies spirituelles est universel et concerne la pratique de toutes les disciplines martiales et pas seulement celle de l’aïkido.

Pour les asiatiques, l’homme est un microcosme dans le macrocosme : l’univers. Le fait d’avoir un ego trop développé coupe l’homme de l’univers dans lequel il vit et son égocentrisme agit comme un prisme, déformant la réalité et les vérités qu’il doit découvrir, s’il veut donner un sens à sa vie. Les arts martiaux devraient permettre de s’étudier soi-même et de s’oublier soi-même. Et s’oublier soi-même, c’est couper ou tout au moins modérer l’ego.

L’homo sapiens ou homme sage ? On peut en douter vu l’état de la planète et de l’humanité…

Les arts martiaux modernes, bien compris, devraient permettre à l’homme de retrouver une certaine sagesse (sapience) qui semble de plus en plus absente dans un monde de compétition, souvent dépourvu d’humanisme et d’harmonie.

Vus sous cet angle, les « Shin Budo » sont loin des sports purement compétitifs, axés sur une certaine agressivité et un égocentrisme, indispensables pour vaincre à tout prix et devenir « le meilleur », souvent pour une très courte période. Au contraire, les « Shin Budo » incitent l’individu à rechercher, à travers l’étude et la pratique, l’excellence pendant une vie entière.

21
Mai
10

Information pour les pratiqant(e)s.

Chères pratiquantes, Chers pratiquants,

Pentecôte:

Le Hall des Sports est fermé le dimanche 23 mai et le lundi 24 mai.

Il n’y aura donc pas cours dimanche prochain, d’Aikido, d’Iaido et de Jodo.

Soyez donc nombreux à pratiquer ce samedi, avec moi!!! je vous attends tous….

Pierre Chalmagne Hanshi.